AUTOUR DU TIPI

je reviens à un espace d'écriture je ne suis ni écrivain ni poéte, juste une personne qui aime les mots et tente de faire partager sa vision de ce monde , je n'ais comme ambition que d'attirer peut être votre attention sur certains texte , merci d'avance.

LIBERTE

Avec l’écriture je cherche a exorciser quelques vieux démons qui ne veulent pas se cicatriser, je cherche à libérer mon cœur de tout ce poids qui me pèse et qui sans l’écriture me ferais vaciller, je ne serais pas un grand écrivain, mais ce qui coule dans mon sang c’est des roses ou du venin

Ma raison de vivre encore à été dans l’écriture de pouvoir dire des mots sur des non-dits des dit –rien. Sur des sujets qui me touchent je ne peu utiliser la parole, dans les mots que j’écris je retrouve mon rôle, je parle de ma vie passé aussi de mon présent , de mes amours oublié et de ce qui reste du temps, une enfance pas facile comme beaucoup je suppose , des nuits dans les rues pour fuir la famille :overdose ! le travail très jeune et ses brimades, pas question de pleurer pas question d’être malade, et puis l’engagement militaire du ciel bleu dans mon imaginaire, et comme la vie le demandais à cette époque passé, fallait se marier et avoir des bébés.

Que pouvons nous retirer de ces quelques lignes de vie, pour moi rien sinon un temps qui fuit

On ne parle pas de bonheur on ne voit qu’une suite d’événement que certains appelle la vie.

Toutes ces années sont passées sans que vraiment quelque chose m’attache, mon cœur est devenu dur et j’ai pris le surnom d’apache, ce n’est pas pour la rime c’est un état de fait dans ce peuple même pas la vie ne comptais.

On me dit souvent que je n’ais pas à me plaindre j’ai tout ce que je veus et j’ai réalisé mes rêves, je suis conscient des réalités mais ces rêves était la que pour m’aider à vivre

Peut être aujourd’hui ce que je demande à la vie c’est une trêve

Je suis un peu las de tout et un seul mot me fait sourire c’est libre.

Le temps passera encore sur tout ses maux qui m’agressent , et je retrouverais peut être un bonheur de vivre, alors je laisserais le stylo et la machine pour juste apprécier et embrasser ce mot « LIBRE »

Libre , liberté, n’es-ce pas les plus beaux mots inventés, mais qu’il est dur parfois de les employer ou de les faires respecter

Au nom de sa propre idéologie, on refuse à l’autre son droit d’expressions, parce que sa pensée n’adhère pas à son opinion.

Combien de citoyen sont mort au nom de la liberté, liberté de paroles, liberté d’expressions, peut être avons-nous oubliés.

Je vois que le chemin est encore long avant que le droit d’expressions soit une forme de paroles accepté.

Le 26 fevrier 2007

HISTOIRE DE MAUX

Il n’y a que devant cette page blanche que mon esprit est bien,
Celui-ci n’est pas tourmenté par des ondes parasites,
J’ai du mal parfois à sortir de ce carcan d’y rompre mes liens,
Mais il faut que je retrouve mes mots, il ne faut pas que j’hésite.

Peines de cœur, peines de corps
C’est par les mots que je me soigne
En vous alignant je vis encore
Je dois faire vite avant que je m’éloigne.

Toutes ses lignes que j’ai écrites sur la vie sur la mort,
M’ont données tant d’espoir, tant de rêves encore inachevés,
M’ont aidée à vivre et à ne pas pleurer sur mon sort,
Elles ont été ma lumière, un chemin vers ma liberté.

Que j’aime voir tout ces mots se suivre,
Raconter une histoire, un moment de vie,
Parfois parler d’amour, celui qui enivre,
Ou parler simplement d’elle ou de lui.

Il y a encore tant de choses à dire, que ma plume à de beaux jours
Pour parler de choses graves, ou plus simplement de tendresse
Il y a des moments pour tout, même un temps pour l’amour,
Je laisserais parler mon esprit, peut être que lui des souvenirs il lui en reste.

Tatenka (27 février 2007)

Souvenirs du passé.

Parfois le passé vous rattrape alors que vous n’y pensiez plus,
Ce passé, celui de vôtre enfance, celui qui vous avait tant ému,
Sans savoir pourquoi vous déclenchez une grande horloge,
Celle du temps d’avant, ce temps que vous parlez avec éloge.
Le hasard fait que vous recherchez votre passé enfoui,
Ce cortège de souvenirs qui parfois a hanté vos nuits,
Parmi tout cela un moment vous tenais tant à cœur,
Mais vous n’osiez plus y penser, il avait laissé tant de douleurs.
Quand un matin, plus joli et plus intense qu’un autre matin,
Votre esprit se réveille et ce souvenir caché si important revient,
Alors vous vous dites, « et si aujourd’hui je recherchais mon passé »
Vous allumez l’ordinateur et inscrivez un nom dans la rubrique « recherché. »
Ce nom que vous n’avez jamais oublié c’est une bouteille à la mer,
Peut être les courants du haut débit déposeront ce message au destinataire,
Et le miracle de votre esprit et de l’informatique réuni,
Vous font retrouver l’amour de votre vie.
Certes un amour d’enfance mais n’es-ce pas le plus beaux,
Celui qui n’a que l’innocence, la pureté, loin de tous idéaux,
Un sentiment que jamais vous ne retrouverez dans votre vie,
Car le monde de l’enfance se moque souvent de l’a priori,
Alors oui, le soleil qui éclaire ma fenêtre, ma redonné le gout de mes jeunes années
Un peu moins acteur de mon présent, et retourner un peu dans mon passé,
Celui qui à forgé l’homme que je suis aujourd’hui, avec toutes ses incertitudes,
Ces temps où l’insouciance nous rendait croyant de nos certitudes,
La ou nous voulions reconstruire le monde, nos amours nous donnaient la force
De commencer à devenir des hommes, et à ressentir les premières douleurs atroces,
De la vie, de l’amour, de la peine de la trahison, ce cortège de maux
Que nous allions affronter maintenant que l’adolescence à quitté son manteau.
Merci à toi qui a su rattraper cette bouteille pleine de souvenir
Tu ma redonnée un peu de bonheur à nouveau envie de sourire
A la vie qui n’a pas été sympa pour nous deux
Mais qui je le crois fais aujourd’hui deux heureux.

Apache/tatenka (GUY 2mars2007)

A CŒUR OUVERT

Que reste t’il de nos rêves de nos illusions, un goût amer , un goût de pas fini, j’en étais encore à croire que des rêves pouvaient devenir verité, mais il fallait bien retomber sur terre, et ne croire que ce que nous offre la réalité. Si je regarde en arrière je ne verrais que douleurs, morts, illusions, désillusions, souffrances, mensonges, un océan de vagues grises où parfois l’écume des crêtes donne un espoir d’un monde nouveau, d’un nouveau départ. Mais il faut parfois se rendre à l’évidence, notre vie est programmée sur un grand cahier et rien ne fera changer les phrases inscrites, vous croyez à un moment de répit, un commencement de vie nouvelle, une éclaircie au dessus des flots, ce n’est qu’un instant d’accalmie, la vague sombre est déjà en formation et ne tardera pas a revenir vous toucher de plein fouet. J’ai toujours essayé de conduire ma vie avec des projets pleins la tête, et le fait de vouloir les réussir me faisait me dépasser, et oublier mon quotidien. Aujourd’hui la machine est en panne plus rien à l’horizon plus de but à atteindre, plus d’envie à aller plus loin, c’est un peu comme un vieux moteur qui sait que la fin est proche et qui après quelques derniers soubresaut s’arrête brusquement. Je sais déjà tout ce que l’on va dire, j’ai déjà tout entendu et ce n’est pas cela qui remettra en route le moteur, je pense à ce vieil homme qui en province avait été un ami de mon grand- père et qui me disait souvent : « vois tu mon petit, quel sens puis-je donner à ma vie, je me lève, je mange, je me couche, si on m’avait dit que ce serais cela la vie, je n’aurais pas signer. » Je n’en suis pas encore la, heureusement, mais le chemin qu’avait pris cet homme est un peu le chemin que je vais emprunter, et cela me fait réfléchir, voyez vous ce n’est pas un coup de cafard juste une interrogation je suis la pour qui ? Pour quoi ? Vaste question, vastes réponses. Voilà aujourd’hui ce n’était pas un poème le cœur ni est plus juste une question à moi-même, une question sans réponse.

Tatenka (GUY 5mars 2007)

Coup de blues

Devant cette page blanche, j’essaye de coucher tous les mots,
Que je voudrais dire à ceux que j’aime, cela calmerait mes maux,
Mais il est toujours difficile de parler des autres, et de parler de soit
Notre cœur voudrait tout dire, mais on garde tout dans un cocon de soie
Je n’arrive pas a parler d’une histoire d’amour heureuse
Toutes ce sont fini par lassitude je n’ais pas la fibre amoureuse ?
Je me pose peut être trop de question, et j ai pas envie de faire mal,
Je préfère souffrir de mes aventures, dans mon coin comme un animal.
Après tout rester seul est peut être la bonne solution,
Pouvoir partager ce n’est pas dans mes ambitions,
Je donne et n’attends jamais rien en retour,
Ce n’est pas tout à fait la définition de l’amour,
Alors, ma vie est peut être de continuer sans me retourner sur mon chemin
Croiser quelques âmes, et ce dire j’ai peut être été utile à quelqu’un
Pas d’amertumes, pas de rancœur, pas de tristesse dans les yeux,
Un chemin que j’ai tracé seul et qui ma éloigné de tout les dieux,
Je n’ais appris qu’à compter sur moi-même souvent dans l’indifférence des miens
Cela ma donner la force, le recul, et la dureté que j’ai eu envers certains,
Mais qu’importe je crois avoir beaucoup reçu de la vie, et y avoir aussi beaucoup donné
Et si je suis la aujourd’hui à écrire, c’est pour mieux dire que j’en ais vraiment bavé.
Ma vie à t’elle besoin d’une pause, toutes ces dernières années ont-elles été trop dur
Le cœur et le corps doivent peut être s’arrêter un moment après tout ce qu’ils endurent.
Devrais alors tirer ma révérence et penser à autre chose,
Un peu d’arrêt dans l’écriture une petite pause
Ou alors se remettre au livre de ma vie, il y a tellement de chapitres que je n’aurais jamais fini.

APACHE (GUY 11/03/2007 )

» Bavardages autour de PTE ....
» autour du monde (suite)