Voyages
J’ai toujours voulu connaître le monde parcourir le globe à la recherche de je ne sais quelle ombre, la chance m’en fut donné déjà très tôt et j’ai pus embarquer sur d’immense bateau. La mer me faisait pas peur sur elle j’étais très bien, un peu comme dans le ventre d’une mère avec l’océan je ne faisais qu’un. Déjà petit j’allais sur des petites barques à la pèche de jour de nuit, il fallait toujours que j’embarque .Alors bien sur quand l’âge me le permis c’est dans la marine que je voulais faire ma vie.
Au milieu de l’océan j’étais vraiment heureux, quoi de plus joli que la voute des cieux de voir enfin la lune se refléter dans la mer, de voir l’écume sur le haut des vagues, comme des moutons elles s’enfuient et vous narguent. La mer est pas toujours gentille, parfois elle se déchaine, un coup de vent arrive elle sait montrer sa haine, sa violence parfois vous fait peur, nous sommes ces invités, il faut l’aimer avec douceur.
J’avoue que parfois dans des mers lointaines les vagues étaient si haute que le bateau disparaissait, il fallait chasser sa peur et pour contenir son angoisse ce dire que c’était juste un mauvais moment qui passait. Au large du cap Horn quand les vents glacials vous fouettent le visage, que la mer en furie vous brosserait bien sur le rivage, vous pouvez priez dieu ou bien Poséidon, qu’importe les dieux la mer déchaîne sa colère et il faut tenir bon
Pareil si vous monter au nord et que la mer vous parait tranquille, faut toujours être sur ses gardes la mer est pas toujours gentille. Des jours et des nuits passés à la passerelle à guetter des montagnes de glace qui dérivent, le soleil est si blanc à ses latitudes que vous manquez de repères et que vous ne voyez pas cet iceberg qui arrive.
La mer à ses côtés terrifiant et souvent ses jours de calmes, il faut la mériter savoir lui faire du charme, en fait c’est un peu comme une femme. Elle sait ce montrer douce et câline ,elle sait aussi se montrer dure violente est féline. Mais quel bonheur de parcourir tout ses océans de voir le monde comme l’on fait les conquérants, de toutes ses couleurs la mer vous charme, il vous arrive parfois d’avoir une petite larme
Quel cadeau d’arriver enfin dans un port lorsque les premières lumières de la ville clignent de mille feu, et que déjà la brise de terre vous amène des effluves d’odeur de parfum merveilleux, quel plaisir et quel satisfaction d’entrer dans ses magnifiques baies du bout du monde, de la baie du Mexique, a la baie de rio d’où ce grand christ au bras ouvert vous dit venez dans le nouveau monde. J’ai encore des frissons en pensant à tout ses ports des quatre parties du monde ou j’ai pénétré, c’était des récompenses après de dure traversées, débarquement en pleine mer aux iles du salut, ou prés des plages enchanteresse du wanattu.
Débarquer un jour à Montréal par la remontée du saint Laurent, c’est un peu comme si on remontait le temps, que dire de l’Islande et de Reykjavik la ou la nuit n’arrive jamais, que le froid vous enveloppe, et que dans le même temps des geysers, crachent devant vous de la vapeur chaude qui vous enveloppe. Que dire de ses terres du bout du monde ou presque personne habite, que quelques chercheurs qui attendent des nouvelles, il faut aimer son métier vous aller au Kerguelen.
Quand j’ai quitté mon foyer à 16 ans je ne savais pas que plus tard je ferais le tour du monde, cela ma appris la vie bien plus que si j’étais resté chez moi à me morfondre. J’en ais tiré beaucoup de bénéfice dans ma vie future, j’y ais appris l’humilité et que la vie est souvent dure. Je repense souvent à cette vie passé à toutes les personnes que j’ai pus croiser, j’y ais appris la sagesse la vie en communauté, j’ai forgé ma jeunesse sur la mer et je ne pourrais l’oublier.
APACHE